Je suis montée avec l’appréhension du vertige, mais avec ma curiosité naturelle. J’ai pris conscience que la curiosité est relative.
Là, j’ai pu observer et scruter la ville qui se réveille.
On dit que les personnes vivent à cent à l’heure, moi j’ai vu des gens simples qui partaient travailler en marchant tranquillement.
J’ai fermé les yeux et, dans le ronronnement des voitures, je suis arrivée à entendre les oiseaux chanter.Cette expérience m’aura montré une chose : l’être humain est rempli d’espoir. Il tourne sur un parking toujours plein en espérant trouver cette petite place.
J’ai quitté cet abri et je n’ai plus peur de la hauteur.Cette expérience est un plus pour essayer de comprendre le monde qui nous entoure, et l’horizon nous permet de nous évader comme les oiseaux qui volent.


Agnès
jeu 13.11 7H58
Matin